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sweetzerland

La Suisse a une passion pour le chocolat, et au bord du Léman vous ne serez jamais loin d’une arcade qui vous propose une petite pause gourmande en forme de truffe ou de bouchée fourrée.  Fidèles à cette tradition et très curieuses, nous avons poussé la porte d’une enseigne relativement jeune dans cet univers puisqu’elle a ouvert il y a deux ans: Sweetzerland .

C’est un vrai plaisir de découvrir à Genève, la patte d’un nouveau venu dont l’exigence, le goût et la qualité vous invitent dans la famille des chocolatiers les plus raffinés. La collection de truffes est unique: un peu plus de vingt créations, mélange de « classiques » (praliné, chocolat au lait 42% cacaco de l’Equateur, noir 70% cacao du Vénézuala…), et  « invitations à la découverte »: raisinée poire, thé bergamote, citron vert, or des anges rhum orange… Les saveurs sont travaillées avec beaucoup de finesse entre le doux et l’amer, et une impression de légèreté succède à la dégustation. Ne loupez surtout pas la version sans crème du Pâvé de Genève, une friandise traditionnelle revisitée par  les maîtres chocolatiers de Sweetzerland dans une version « Grand cru Criollo », avec des noisettes du Piémont.

Si vous le pouvez, faites vos courses la matin avant que la Vieille Ville au coeur de laquelle se niche Sweetzerland ne s’anime. En effet à cette heure-là vous aurez peut-être la chance de profiter des histoires de fèves et de ganaches que le  propriétaire, passionné de chocolat, aime partager avec ses clients.

  • Tous les chocolats sont sans additifs et sans graisses hydrogénées.
  • La fabrication artisanale est 100% suisse, ainsi que les produits (à part les fêves de cacao et les marrons d’Italie, du Piémont).

sweetzerland-cubes

sweetzerland-hom* le chocolat au lait est né au bord du Léman à Vevey en 1875, dans la fabrique de Daniel Peter qui mélange à la pâte de cacao le lait condensé, une récente invention de son voisin et ami,  un certain Henri Nestlé…

* le chocolat fondant vient de Berne: un soir de 1879 à la veille d’un week-end, Rodolphe Lindt oublie d’éteindre le réchaud sous une cuve de fèves de cacao. Deux jours après, alors qu’il revient dans son usine, il découvre que cette cuisson douce et prolongée a transformé le mélange en une pâte fine et onctueuse…ô miracle!