Bâches de camion, chambres à air de vélos, ceintures de sécurité, airbags…
constituent les matières de base de l’un des créateurs de sacs et accessoires les plus en vogue de la planète à une condition: qu’ils aient des milliers de kilomètres au compteur! Vous êtes chez Freitag.
Daniel et Markus (Freitag bien sûr), sont frères, graphistes de formation, suisses et plein d’idées. En 1993, ils ont imaginé et réalisé leur premier sac en découpant de la bâche de camion qui avait vu du pays. L’esprit besace de vélo-coursier (nouvelle version de la besace de facteur !) fut la base du premier modèle F 13 Top Cat : particulièrement solide, résistant à toutes les intempéries… qualités techniques exigées par un 33 tonnes qui sillonne les routes. Mais en plus bien sûr, un design intelligent pour être pratique à utiliser : rabat long et scratch velcro (qui ne faiblit pas avec le temps) assurent une fermeture simple mais efficace, sangle épaisse pour ne pas cisailler le dos… Ces modèles sont de superbes sacs pour tous les collégiens et universitaires, et l’on s’en est aperçu très vite, de New York à Tokyo en passant par Genève et Lausanne, où nous avons fait une halte dans une boutique Freitag! Il y en a peu, alors si vous passez par là, arrêtez-vous pour découvrir toute la collection! La marque a décliné sa ligne en proposant des modèles féminins, des portefeuilles, des pochettes d’IPAD (disponibles à l’Apple store à Genève), etc…
Le concept est chargé de philosophie (recyclage, écologie -avant fabrication les bâches sont lavées à l’eau de pluie) et même d’humour, il y a donc une très forte identité et immanquablement un petit côté passionné chez les amateurs de Freitag dans l’accueil de cette boutique très lumineuse et colorée. Prenez votre temps, un même modèle peut avoir une apparence différente selon l’endroit où il a été découpé dans la bâche, il faut donc trouver le détail qui fait que ce sera justement celui-là votre sac!
CAB Juin 2014
- la bâche de camion, ça sent le caoutchouc c’est sûr…dès que vous entrez dans le magasin, vous comprenez que cela fait partie de l’identité de Freitag… l’odeur s’estompe très sérieusement avec le temps!