Sonia Jebsen – janvier 2024
Renaud Behar est un artiste autodidacte vivant entre Paris et Chamonix. Il aime voyager dans son van, de Berlin à Lisbonne en passant par Ibiza ou la Corse. Né à Paris en 1973, il y a passé les trente premières années de sa vie. Il travaille d’abord dans le domaine cinématographique avec l’écriture et la réalisation En 2010, participant à une cérémonie chamanique d’ayahuasca, il découvre le monde spirituel des plantes, qui lui inspire une expression graphique d’arbres et de végétaux à l’encre noire. Fort de cette formidable connexion, il explore le monde végétal pendant une dizaine d’années. A partir de 2020, un travail de déstructuration le mène vers l’abstraction.
En 2023, l’histoire et l’énergie de Berlin confirment cette direction. Son architecture et sa culture l’inspirent de manière fulgurante. C’est au son de musiques électroniques, et plus précisément de “techno” pure et dure, qu’il débute la série “BERLIN 23 RB”, à la table de son van. Il lâche prise pour s’aventurer dans les lignes droites, les angles bruts, les labyrinthes, pour s’enfoncer dans la matière noire, l’encre profonde, opaque, mate ou brillante, où il va bientôt intégrer l’humain, sous forme de silhouettes sombres. Sa vision du monde passé, futur et présent plonge dans une certaine radicalité, un élan lyrique.
Toutes les œuvres méritent d’être vues en réel. Les noirs, les reflets, les épaisseurs sont extrêmement difficiles à reproduire avec une photo. L’artiste souhaite travailler dans de plus grands formats sur des épaisseurs plus importantes. En opposition à la violence des sujets, d’autres œuvres exprimeront la douceur, la fragilité des visages et des corps..
En 2023, l’histoire et l’énergie de Berlin confirment cette direction. Son architecture et sa culture l’inspirent de manière fulgurante. C’est au son de musiques électroniques, et plus précisément de “techno” pure et dure, qu’il débute la série “BERLIN 23 RB”, à la table de son van. Il lâche prise pour s’aventurer dans les lignes droites, les angles bruts, les labyrinthes, pour s’enfoncer dans la matière noire, l’encre profonde, opaque, mate ou brillante, où il va bientôt intégrer l’humain, sous forme de silhouettes sombres. Sa vision du monde passé, futur et présent plonge dans une certaine radicalité, un élan lyrique.
Toutes les œuvres méritent d’être vues en réel. Les noirs, les reflets, les épaisseurs sont extrêmement difficiles à reproduire avec une photo. L’artiste souhaite travailler dans de plus grands formats sur des épaisseurs plus importantes. En opposition à la violence des sujets, d’autres œuvres exprimeront la douceur, la fragilité des visages et des corps..
Mon temps est partagé entre les commandes graphiques, les peintures murales et les petits marchés où j’expose et vends des originaux, des linogravures et des impressions de haute qualité.
Curieuse professionnelle, Sonia part toujours un appareil photo à la main, pour partager les beautés de la région ou sa passion pour l’art et les artistes.