Sonia Jebsen – septembre 2020
À partir du 24 septembre prochain, Espace Muraille accueille une exposition dédiée au peintre et illustrateur genevois Thierry Vernet, compagnon de route de l’écrivain, poète et photographe suisse Nicolas Bouvier, désormais entré dans la légende des écrivains voyageurs.
Amis inséparables depuis leurs années de collège, leur odyssée de 17 mois en 1953 et 1954 au volant d’une fiat Topolino, de la Yougoslavie à l’Afghanistan, via la Grèce, la Turquie, l’Iran et le Pakistan, a été relatée dans un ouvrage culte, « L’Usage du monde », écrit par Nicolas Bouvier et illustré par Thierry Vernet, devenu au fil du temps la « bible » des routards et des globe-trotters, et dans un livre de Thierry Vernet, « Peindre, écrire chemin faisant ».
Leur complicité artistique a donné lieu à une volumineuse et passionnante correspondance, qui avait été exposée au Musée de l’Élysée à Lausanne il y a quelques années. À travers les peintures – portraits et paysages -, les dessins, les correspondances et objets de Thierry Vernet, l’exposition d’Espace Muraille rend hommage à un artiste prolifique et curieux de tout. Ses tableaux recèlent notamment une lumière toute particulière : « La lumière n’a rien à voir avec l’éclairage », écrivait-il dans son journal. Dans l’exposition figureront également des dessins et manuscrits originaux du fameux voyage de l’artiste aux côtés de Nicolas Bouvier, prêtés par la Bibliothèque de Genève.
Enfin, clin d’oeil historique, l’exposition prend place dans les fondations du 8 rue Beauregard, hôtel particulier ayant
appartenu à la famille Vernet, où est situé Espace Muraille.
(Source : dossier de presse)
Ivan Rivier, Directeur Général, a le plaisir d’annoncer l’ouverture de La Table du Lausanne Palace, son nouveau restaurant, avec à sa tête le Chef Franck Pelux et sa compagne Sarah Benahmed en qualité de Directrice de Salle. Le premier «coup de feu» officiel de La Table du Lausanne Palace sera donné le jeudi 17 septembre 2020 à 12 h. En tant que nouvelle adresse gastronomique, La Table du Lausanne Palace viendra compléter l’offre de restauration de l’hôtel et proposera une cuisine française résolument contemporaine par sa technique et ses associations de goûts, dont l’influence s’accorde aux émotions et aux souvenirs.
Dans cette nouvelle aventure, la clientèle lausannoise aura l’occasion de retrouver de nombreux visages familiers à la fois en cuisine et en salle, ainsi que le splendide panorama qu’offre le restaurant, surplombant les toits de la ville et le lac. Côté salle, l’ambiance se voudra assurément chaleureuse et subtilement audacieuse. L’esthétisme fondamentalement épuré de la table sera en accord avec les créations culinaires du Chef Pelux et sa brigade, célébrant avant tout la pureté du produit travaillé depuis son producteur jusqu’à l’assiette.
(Source : communiqué de presse)
Au cœur du Samadhi Project, la pièce de théâtre L’invisible Chemin, jouée du mercredi au dimanche pendant un mois, aborde avec jubilation les différentes thématiques en lien avec la paix, développées lors des quatre week-ends de conférences et ateliers.
Par le théâtre et par la connaissance, pour ouvrir les cœurs et les esprits, posons un nouveau regard sur le monde. Libre, bienveillant, créatif.
En partenariat avec la Fondation Gilles Caron et le Château de Nyon, Focale propose une exposition en deux volets, entre la galerie Focale et le Château de Nyon, portant sur une sélection d’images du travail de Gilles Caron et une projection du film documentaire sur le photographe Histoire d’un regard de Mariana Otero sorti en 2019.
Figure incontournable de la photographie, Gilles Caron est devenu, à travers son oeuvre, un témoin de son temps. Photographe reporter entre 1965 et 1970, il réalise plus de 500 reportages en à peine 5 ans.
Il commence son métier à l’agence Apis ( Agence parisienne d’information sociale ), puis dès 1967 il entre dans la toute nouvelle agence française Gamma. Homme d’action et esprit littéraire, Gilles Caron couvre des moments marquants : les guerres des Six Jours, du Biafra, du Vietnam, les émeutes en Irlande du Nord, ainsi que Mai 68 et les manifestations réprimées une année après le Printemps de Prague; autant d’événements qu’il traite au moyen de son objectif.
Gilles Caron n’est pas seulement un observateur et sa photographie révèle son engagement en tant que reporter photo. Il s’interroge sur les aspects éthiques et déontologiques de son métier et sur le rôle qu’il joue dans le système de l’information, en expansion dans la société des années soixante.
(Source : dossier de presse )